Animal Lecteur

Sasha est couché depuis trois quart d’heure, une petite lampe allumée à son chevet, mais on imagine qu’il va dormir…

Quelle n’est pas la surprise de découvrir en jetant un oeil par la porte entrouverte de sa chambre, que Sasha… est en train de lire!

sasha lisant

Ce chenapan ne veut pas dormir, et est tranquillement plongé dans les aventures de Mizzi the mouse, page 2 (la page bleue).

Paris augustien

Les niouzes se font rares on dirait, et le fan-club du museau se demande ce qui se passe…

Et bien c’est l’été, les vacances, et la chaleur d’Août… d’un côté… Et c’est l’été, un cabinet vide et des tonnes de courrier, et la torpeur de la canicule, de l’autre…

Du coup, les pages ne sont guère rafraichies, et le museau grandit sans que vous le sachiez… (quoique vous vous en doutez bien)

La Museau’s team a décidé de passer le mois d’Août à Paris. même le 15 Août!

Du coup, même si on ne manque pas de travail du coté de la rue la Boëtie (pauvre ChaTigresse, qui doit en être à 450 courriers depuis la rentrée d’Août), le soir on s’occupe aussi.

Vendredi soir fut l’occasion de renouer avec cette excellente tradition du “Cinéma au Clair de Lune”, les projections à travers Paris de films en plein air. Ce soir, “Le cave se rebiffe” avec l’excellent Maurice Biraud et nos amis Blier et gabin, dans un feu d’artifice de bons mots du vieil Audiard. Une bonne régalade, tandis que Sasha dormait en dépit du bruit dans sa nacelle.

En fait, les parents du Museau ont retrouvé le plaisir du cinéma, grâce aux baby-sittage offert par les parrains puis la Grand Paternelle. “Terminator 3” (allez plutot voir le 4, le 3 est sans interêt) la semaine passée, puis “Nadia” (moyen drôle en fait, mais Kidman est assez étonnante) ce dimanche, suivi de l’arrêt classique à Lo Sushi.

Pendant ce temps, sa Souritesse a appris à se retourner sans coincer son bras, et peut enfin pousser de toute ses forces sur ses petits muscles pour redresser sa grosse tête étonnée et admirer le bout de son lit ou le coin de son tapis d’éveil. Cela lasse vite et on appelle rapidement au secours pour être remis sur le dos (à la différence des coccinelles et autres coléoptères, un Museau se retrouve coincé quand il est sur le ventre!), pour, dans un laps de temps de 33 secondes dès que son sauveteur a tourné le dos, se remettre sur le ventre et s’impatienter de nouveau.

A part ça, on est toujours aussi curieux du monde alentour, on tente de saisir tout ce qui passe et on tient fermement son biberon tout le temps de sa tétée… (on tient aussi fermement tout ce qui ressemble à un biberon, que ce soit une bouteille d’evian 1,5l ou encore une cannette de bière -fermée, ok-).

On rigole, on sourit, et on est toujours d’aussi bonen composition, même s’il semble qu’un preçage de dents imminents rende parfois son Excellence un peu agacé ces derniers temps. On verra.

Voila, plus de nouvelles quand elles seront fraîches -avec le changement de temps ce ne sera pas trop dur-

Photos Vacancières

Il fait chaud, tout le monde le sait.

Et tout le monde commence à regretter la terrasse ombrée de platanes de la Fenestrelle. Surtout Sasha, qui en a marre de ne plus sortir du tout (on reste enfermé dans un appartement où il fait un confortable 29°, ce qui est mieux que les 37°c relevés dehors)

Pour vous rafraîchir, voici quelques images des vacances de Juillet…

Marseille – Annecy

PRECISION SEMANTIQUE :

L’expression dès potron minet signifie: «dès le lever du jour».

Sous minet, on reconnaît le chat, mais que veut dire potron?

Réponse: potron est l’aboutissement du latin posteriorem, et l’expression signifie «dès que l’on voit le postérieur du chat».

Chaleurs et farniente

Oui, peu de news en ce moment. Ce doit être la chaleur qui accable les parents du museau : le gravier n’arrive plus à connecter son appareil photo à son ordi, et stéphamie est en panne d’inspiration pour commenter les activités du museau.

Ce n’est que passager, comme la canicule (enfin, on le souhaite….)

Vendredi soir, le museau avait accompagné sa parentèle dîner en terrasse au No Stress Café, et même à minuit, il faisait encore très très très très chaud……

Samedi dernier, museau a fait une apparition sur Paris Plage, après avoir brunché place du marché saint honoré au Nomad’s (établissement fort agréable, et doté de la clim !).

Paris Plage donc, où les brumisateurs ont beaucoup amusé le parrain et stéphamie. Quelques hamacs à l’ombre des arbres auraient été fort appréciés, mais, comme le soulignait le parrain, à moins d’arriver dès potron minet, point de hamac…..

Dimanche cool au cours duquel les grands parents maternels ont pu constater la force et la vigueur du museau qui s’attachait à secouer les arches de son tapis de jeu (un séisme de force 18 sur l’échelle de Richter, disent les animaux concernés ie la girafe, le singe et l’éléphant, le perroquet s’en étant tiré quant à lui avec une aile froissée)

Lundi enfin, Bellefond Plage où le museau a fait part à sa mère de son profond mécontentement lors de l’enlèvement du joujou de bain, cris et battements de mains et de pieds en tous genres. La prochaine fois, stéphamie enfile son maillot de bain pour baigner son petit.

Mardi, jour de l’écriture de cette chronique depuis le bureau. Pas grand chose à signaler sinon une profonde lassitude quant à la chaleur ambiante et l’absence de répit (et de courant d’air).

Arrgghhhhhhh, fait chaud.

Le museau est à la fraîche, dans sa demeure, traversée d’une brise douce et paisible.

Lui l’est moins, paisible……il vocalise, joue, réclame toute l’attention de son papa pour lui montrer tout ce qu’il apprend, et il en apprend des choses, au moins une par minute.

Les souriteurs ne se lassent vraiment pas, et l’observation du museau revêt souvent des allures de contemplation laudative que le museau entretient à dessein, tout à fait conscient de l’impact de chacun de ses gestes sur ses parents.

Bref, et en quelques mots, gravier et chatigresse sont fondus (oui de chaleur, ca c’est sur) mais aussi et surtout d’amour pour leur petit.

sasha’s back home.

Vendredi soir, dans la douce tiédeur de l’été parisien, sasha a débarqué, flanqué de ses bagages et de ses deux parents, non sans avoir fait des essais de voix pendant la majeure partie du trajet….la honte pour les souriteurs qui ont du se réfugier, avec le museau chantant, dans le local à vélos.

Sasha a donc une très belle voix, et bien l’intention de s’en servir. Il se cantonnait aux matinées annéciennes pour vocaliser et essayer de nouveaux sons, mais désormais, c’est un full time job que de trouver de nouvelles consonnances.

Gageons qu’il parlera rapidement, au moins, on comprendra quelque chose parce que là, les beuaahhhh, griiiiiiii, hiiiiiihihi, et autres ne sont pas accessibles au commun des mortels.

Samedi a été l’occasion d’une reprise de possession des lieux, redécouverte du museauland et des petites rues alentours.

Dimanche écrasé de chaleur, au cours duquel le museau chantonne de plus belle dans son petit lit, tout en inaugurant quelques nouvelles figures de roulé boulé, retourné sur le ventre, et avec les deux mains du bon côté, s’il vous plaît, tout cela au grand dam de chatigresse qui checke régulièrement son petit. Gravier rigole….

Demain, retour en fanfare au bureau pour la partie féminine de la meute, qui ne fait pas les choses à moitié, et redémarre avec la navette de 6h35 pour marseille.

Pendant ce temps là, our new cleanin’ lady is due in Bellefond to clean, clean, tidy and clean the museau’s place. (C’est juste qu’elle ne parle qu’anglais, so chic….)