Le 1er birthday de Sasha : J moins 8

Branle bas de combat, préparatifs fébriles, organisations, planifications, réorganisations, prévisions, bref un vrai projet.

Pour l’instant, tout est couvert par le secret le plus absolu.

Une seule information, exclusive, et pour vous seuls lecteurs du site de la souris : Sasha soufflera sa première bougie comme un grand, tout seul, (2 semaines qu’il s’entraîne avec sa maman à coup de fff, pffff, et autres encouragements). La bougie sera plantée dans un gâteau au chocolat fait à la maison, et selon une recette familiale secrète. Le plus : Sasha sera le seul à goûter ce met : en effet, affublé d’une blouse bavoir en plastique, il aura tout le loisir de mettre ses petites mains dans le gâteau et d’en goûter les subtiles saveurs.

Naturellement, un reportage photo sera publié le jour J. Et le site vous livrera régulièrement les détails de ces festivités.

Teasing and Happening.

Problème technique et technologie épatante

Vu que Internet Explorer pour Windoze ne me fait que des bugs à cause du système de commentaires, je désactive ces commentaires le temps de comprendre l’erreur…

Pour vous faire patienter, voici la simulation de notre chambre d’ami, pour crâner avec mon iMac.



Cliquez l’image


(euh, il n’y a pas de livres dans l’étagère parce que je n’avais pas envie de les dessiner un à un…)

Enfin, un hommage à leur juste valeur rendu aux souris

Lu sur Yahoo actualités, on n’y croyait plus :

MYCHKINE (AFP) – Les trains ne s’arrêtent pas à Mychkine et les bateaux n’y amènent de voyageurs qu’en été. Mais cette petite ville russe perdue aux bords de la Volga a une vie culturelle intense et espère développer le tourisme grâce à des curiosités, tel le musée de la souris.

Dans une isba de bois ayant appartenue jadis à des marchands habitent aujourd’hui 4.528 souris: en peluche, porcelaine, cire ou coquillage, elles ont été envoyées là des quatre coins du monde. Le musée a même reçu en cadeau de vraies bêtes, y compris une “souris mutante”, mais il les a laissées partir. “Il n’est pas bon de tenir en cage le protecteur de la ville”, explique Nikolaï Louchine, directeur du musée de la souris.

La souris (mychka en russe) est une bête sacrée de cette ville de 6.000 habitants à 300 km au nord de Moscou, qui porte son nom: d’après la légende, c’est une souris qui, en 1523, a sauvé la vie du fondateur de Mychkine, Fiodor Mstislavski, le réveillant alors qu’il était menacé par un serpent.

“Les pièces exposées viennent de Hong Kong, d’Allemagne, d’Italie, d’Inde, de Chine, et même de Hawaï. Une retraitée allemande nous en envoie une par an”, raconte M. Louchine. Chaque souris est enregistrée dans un gros livre et le musée adresse à son expéditeur une lettre de remerciement et un certificat tamponné “Musée de la souris”.

Les premières pièces ont été offertes par le barde russe Boulat Okoudjava et par l’académicien Dmitri Likhatchev qui a avoué dans l’un de ses essais son amour pour Mychkine, une ville qu’il n’a jamais visitée.

Les chats de Mychkine sont curieusement attirés par cet endroit. Et le musée de la souris est en correspondance régulière avec le musée du chat de Siauliai, en Lituanie. Les deux espèrent faire un jour une exposition commune. “Nous n’avons rien à craindre: les souris sont plus nombreuses que les chats”, explique en souriant M. Louchine.

Le grand projet de Mychkine pour l’instant est la préparation du “deuxième festival international de la souris” prévu dans la ville en 2008. “Le premier festival de la souris a eu lieu en 1996. Le prochain se tiendra 12 ans plus tard. Il faut une pause pour ne pas gaspiller le potentiel créateur”, dit Svetlana Dourandikova, responsable de la mairie chargée du tourisme.

D’ici là, la ville compte construire deux centres de divertissement et des hôtels pour accueillir les invités, ajoute Piotr Volkov, responsable du développement économique.

Mychkine n’offre actuellement que 20 chambres d’hôtels, mais déjà beaucoup d’attractions touristiques: la vieille architecture russe est intacte, trois théâtres et dix musées s’y trouvent, dont ceux de Piotr Smirnov, fondateur de la marque de vodka du même nom, et des valenki, les traditionnelles bottes de feutre russes.

L’initiateur de la création des musées de Mychkine, sortis de terre les uns après les autres entre les années 1960 et l’an 2000, est l’historien Vladimir Gretchoukhine. “Ce ne sont que des petites misères bigarrées”, dit-il faussement modeste.

“Quand on jette des pierres sur l’herbe, celle-ci pousse mieux, par résistance. De même, notre petite ville tente d’affirmer son moi dans cette civilisation d’asphalte”, dit-il dans sa langue ampoulée, recevant dans une pièce encombrée d’une multitude d’objets anciens.

Promis, on va contribuer à renforcer l’armée des Myshka !!!!

Nom de guerre : crevette crevée

valable entre 19h et 20h15 les soirs après la journée chez la nounou.

Le nouveau nom de code du museau qui babille des craï, craï, craï à tout va (pour votre parfaite information, c’est le cri des crevettes dans l’océan….si, si !!)

Bref, le museau est épuisé après une journée de jeu et d’amusement chez sa copine de garde.

Sasha avait, de surcroît, aidé ses parents dans leur recherche du canapé lit idéal (on a proposé à M6 de lancer une émission sur ce sujet, surtout que ca nous aiderait bien, mais le concept n’a pas plu). Samedi a donc été une course éperdue pour le trio, éperdue et vaine. Conclusion : un canapé lit, c’est moche, c’est gros, c’est pas confortable, et c’est cher. (Mais qui voudrait d’un machin pareil, non franchement?)

Puis, dimanche, pendant que le gravier faisait des simulations de bougeage de meubles dans son bureau, chambre d’amis, salle télé, bibliothèque, cosy corner (tout cela alors que la pièce ne fait que 12m2), pour trouver à la pièce sa configuration optimale, chatigresse et museau ont joué, lu, chanté, rangé (à la façon de sasha) et cocooné au chaud.