Je m’appelle Léon, j’ai un gros camion……

Sasha a passé avec brio son permis poids lourds et se meut désormais de moultes manières.

En bref, sasha a la classe !

A quatre pattes, debout avec l’aide d’un tiers, sur les fesses, ou en camion….ou alors carrément dans les bras en cas de grosse fatigue.

Le museau n’est pas à court de ressources, et cela tombe bien, parce que bientôt il va falloir qu’il sache conduire les bateaux, et notamment les paquebots, car le Queen Mary des jumelles a enfin été livré et s’exhibe désormais dans ce qu’il faut appeler le giga show room de bébé confort (ie l’entrée de tokvil)

Alors, certes, l’engin est d’une classe folle, mais bon, il faut le reconnaître, il n’a pas la carrure d’une mac laren minimaliste pour enfant unique.(que sasha réapprend à côtoyer, désormais privé de son fidèle destroyer, la Quinny freestyle 3XL que sa mère a de rechef commandé, sans toutefois savoir la date de livraison qui paraît bien hypothétique)

Toujours est il que le museau nous étonne à chaque instant….et on se marre comme des fous ici à belfon.

Viendez faire la fête quand c’est que vous voulez.

En parlant de bateau, on aura une pensée affectueuse pour le tonton spirituel de fafa qui est de retour dans sa cabane sise Pointe Mignard plus tôt que prévu car la tante Lique n’a pas voulu de son bateau…..(la mère de sasha est vachement spirituelle, mais elle fait ce qu’elle peut, ok !)

Le grille pain de la discorde

Le BHV a été le théatre de vifs échanges verbaux entre renard bleu et chatigresse, l’un ayant repéré le grille pain de ses rêves (le machin avec deux pinces et une résistance, comprendre qui met des miettes partout, et qui peut même mettre le feu à la maison si on oublie la tartine…..), l’autre voyant par avance les miettes jonchant le sol de sa cuisine immaculée….et surtout le fait que le grille pain en question n’était pas du tout celui qu’elle voulait (ce que femme veut…., ben là ca ne s’est pas vérifié !!)

Bref, c’était plus drôle qu’autre chose, et tout ceci s’est fini par l’achat du grille pain de la discorde mais également de supers rideaux pour la chambre du museau, en week end chez ses grands parents maternels d’où il est revenu, épuisé, mais extatique et heureux comme tout.

Ce museau change de jour en minute, et conserve son petit air malicieux qui fait son charme. (Amour de ma vie dit sa maman)

Bon, ce n’est pas tout ca, mais le renard bleu a préparé un maxi diner (tout comme hier soir, par ailleurs, et chatigresse, prise dans le sens du poil, devient très très affamée….)

A plus

week end de l’Ascension….

…vers le bas.

chez les souriteurs, l’ambiance est plus que morose.

La poussette du museau a été dérobée ce matin, et l’on remercie pour cela les gens qui, emménageant, ont tout laissé ouvert, (porte digicodée, porte à interphone, etc) sans se soucier de rien, et qui n’ont pas fait montre de la moindre gêne lorsque le délit a été découvert, fortuitement, par les parents du museau qui pensaient aller musarder gaiement au soleil.

Bref, c’est pas cool du tout du tout, et ca leur a mis un coup au moral. (C’est con à dire, mais c’est quand même la poussette de compet’ du museau)

Cela étant, Museau va bien, et passe le week end chez ses grands parents maternels où il est reçu en prince des princes, d’autant que le fafa marchant à quatre pattes désormais, les chats lui témoignent une grande déférence. (ca rime avec absence, non?)

Chatigresse est bien décidée à arpenter le quartier à la recherche de l’ignoble malfaiteur, et n’hésitera pas à le confondre, le cas échéant. Enfin, on verra, il y en a qui se sont faits massacrer pour moins que ca….

Avant le book de zoolander, qui est déjà demandé sur les podiums de paris, milan et new york….

….un grand scoop : Sasha marche à quatre pattes.

Cette étape fondamentale du développement psychomoteur de l’enfant est donc atteinte, et c’est avec émotion que nous cochons une croix supplémentaire sur la fiche d’apprentissage du museau.

Zoolander

aka Sasha, vous comprendrez mieux quand le gravier aura mis en ligne le zip de laurence.

Tout cela pendant que la marraine du museau enflamme les podiums en défilant pour une jeune créatrice !

Nous baignons dans la mode et le mannequinat, en ce moment.

A toi de jouer, gravier, fais moi un bel album de zoolander !!

Man at work…..

Gravier aka Goupil a repris une activité salariée (comme l’on dit par chez nous) parce qu’il ne faut pas croire qu’il ne fichait rien avant (entre fafa deux jours par semaine et ses innombrables projets, il ne chômait pas du tout du tout)

Mais là, c’est plus sous forme de boutade que chatigresse a décidé de raconter les anedoctes suivantes que beaucoup, voire la majorité de nos lectrices (j’insiste sur le féminin du mot qui n’est pas innocent) auront l’impression sinon d’avoir déjà vécu, en tous cas de connaître.

Samedi matin, réveil pas très frais de chatigresse qui constate avec effroi un attroupement de tasses à café réunies à côté de l’évier (lequel est situé, pour une parfaite compréhension de l’affaire) à 2mm du lave vaisselle lequel était au demeurant vide.

Chatigresse s’étonne de ce rassemblement non autorisé (je croyais la préfecture très stricte, moi, sur ces choses là…) et se dit qu’en fait, la seule explication plausible, c’est qu’il doit y avoir un videur hyper select (comme au cab ou aux bains) à l’entrée du lave-vaiselle et que ces pauvres tasses, accompagnées de leur cuillère ont été refoulées, parce que pas assez hype, ou je ne sais quoi encore.

Là dessus, chatigresse se dirige vers la salle de bains pour constater un suicide collectif de serviettes de toilettes, toutes par terre, gisant là lamentablement (forcèment l’une d’entre elles posée négligemment sur les autres produit nécessairemernt un effet d’entraînement inévitable vers le sol…)

Bon, pas bien grave, mais en fait, ce sont les subtiles petites miettes de pain tombées sur le sol de la cuisine que chatigresse, pieds nus, a eu du mal à supporter, car chatigresse qui est loin d’être parfaite a tout de même l’impression qu’il n’y a que les toasts du gravier qui font des miettes….c’est peut être un peu subjectif comme remarque mais ce ne sont pas des allégations fantaisistes, c’est un constat.

C’est ce dernier point qui a déclenché ce besoin de se libérer par l’écriture (parait que ca marche).

Enfin, tout cela n’est qu’une version humoristique (il faut prendre comme cela) de la vie à deux et chatigresse (qui attend une réponse du berger à la bergère) sait qu’elle n’est pas exempte de critiques.

D’ailleurs, elle va devancer l’appel, et rappeler qu’elle sait que laisser trainer ses 70 paires de fofures, c’est pénible, idem, pour ses sacs à main dont le nombre exact n’est pas encore determiné de manière certaine, que les sacs de courses de fringues accrochés ni vu ni connu à la poignée de la porte de la chambre (derrière la porte plus précisément) ne trompe plus le goupil.

Elle sait aussi qu’il ne faut pas tourner la caméra pendant qu’on filme (non ca ne fait pas un chouette effet, mais juste un torticolis pour ceux qui regardent….), qu’il faut cliquer une fois seulement dans plein de cas (mais elle ne sait jamais lesquels).

Elle sait également qu’elle peut être hyper dirigiste (pas psycho rigide, non, hyper dirigiste, c’est différente), mais c’est sans doute le complexe de n’avoir pas fait l’armée, alors elle se rattrape avec sa meute, et son ton sec et autoritaire n’a rien à voir avec de l’exaspération, c’est juste de l’autorité tout simplement.

Mais enfin, soyez tous rassurés, on s’amuse beaucoup à bellefond, et le museau n’est pas en reste, il regarde tout cela d’un air goguenard, laissant échapper un petit ricanement ironique qui témoigne du recul qu’il a lui par rapport à tout cela (il a tout compris ce malin là)

PS : ceci dit, sasha, tu seras gentil de ranger tes 654 cubes, 35 nounours, 7.000 jouets et 12 ballons qui traîne partout dans le salon, ca fait un peu désordre, et ne compte pas t’en tirer comme ca .

Sur ce, je pars plaider à marseille (eh oui un dimanche…, conseil de l’ordre des médecins oblige), ce qui ne m’enchante qu’à moitié voire pas du tout, même si j’adore marseille, mais j’aime bien mon lit aussi le dimanche matin, moi.

PHOTO COMMENTS

Contrairement à ce que peut laisser supposer la photo illustrant le retour glorieux du museau sur ses terres, il ne regarde aucunement sa mère d’un air interrogateur et dubitatif.

Chatigresse tenait à le préciser afin d’éviter toute erreur d’interprétation (telles celles que l’on voit dans la mauvaise presse people).

En réalité, ce sont les souriteurs qui sont tout déboussolés par ce nouveau petit museau (c’est le même mais avec deux semaines et demie de plus) qui lui est tout à fait à l’aise dans sa petite maison.

Les parents sont donc tout perdus, serait ce le “parent lag”?

Enfin, la conclusion, c’est qu’on est hyper heureux d’avoir retrouvé le sunshine de notre life qui, visiblement, a passé des vacances de folaïe avec ses grands parents.

Paris, France, quelques mois d’arrêt, tout le monde descend!

La ChaTigresse, effrayée par le désordre d’un appartement déménagé en prévision de travaux qui ont commencé depuis (mais les ouvriers, après avoir installé les chat-faudages par chez nous, passent par le 4eme, ce qui impliquent qu’il passeront par chez nous bientôt, argh) est allée direct retrouver le confort familier d’une couette en plumes de canard, et dort du sommeil du juste-sorti-de-12-heures-de-vol-en-classe-eco.

Le Gravier, il a moins sommeil, même s’il a mal dormi, alors il souffle dans son bureau envahi de meubles hétéroclites, et regarde par la fenêtre le ciel bleu d’un Paris qui s’est fait beau pour nous apparemment, en écoutant chantonner un ou deux oiseaux perdus du dimanche matin.

Le vol s’est bien passé donc, à part une programmation de films catastrophiquement nuls (“Paycheck”, par John Woo, qui mérite plutôt de s’appeler John Who?, ou encore “Polly quelque chose”, pipi-caca par des emules des frères farrelly, finalement le vol aller durant lequel la video de l’avion etait cassée, aura fait moins de mal au niveau qualitatif des films ingérés par yours truly….), et nous avons récupérés tous nos bagages, wood carving et autres sacs de manouches touristiques, y compris nos 30 kilos d’excedent…

Bon, à plus tard, à Bali il est déjà 14h, l’heure de la sieste dans la chaleur de l’après midi…

Singapour, 2 minutes d’arret!

Apres un vol amusant mais agité, a savoir:

– deversement de chariot de plateaux-repas dans les allees -c’etait du poisson, charmants reliefs-,

– puis turbulences impressionnantes et imprevues,

– et du coup vol plané -dangereux potentiellement mais rien de cassé au final- du meme sus-dit chariot,

– et ensuite levitation malheureuse d’une hotesse, qui elle aura peut-etre souffert d’une cote felée ou d’un disque douloureux (elle va passer le reste du vol allongée par terre, heureusement nous sommes alors à 20 minutes de Singapour);

bref, nous voici posés à Singapour, merveilleux aéroport sans issue, dans lequel il faut 15 minutes pour atteindre le lounge, 3 minutes pour y trouver le champagne, et 13 minutes pour retrouver l’embarquement, ce qui sur 30 minutes de transit, laisse peu de place à l’impro ou encore au shopping duty-free efficace!

La ChaTigresse est toute détourneboussolée de la mésaventure de la gentille hotesse, qui avait très mal il faut le dire (et bien sur, pour une fois qu’il n’y a pas de medecin dans la salle…), et n’a meme pas envie de champagne…

Pas grave, on re-embarque pour 13heures interminables, a bientot, Paris, c’était le Gravier, reporting live from Singapore, for www.lasourisdanse.com, à vous les studios!