Le museau est à la fraîche, dans sa demeure, traversée d’une brise douce et paisible.

Lui l’est moins, paisible……il vocalise, joue, réclame toute l’attention de son papa pour lui montrer tout ce qu’il apprend, et il en apprend des choses, au moins une par minute.

Les souriteurs ne se lassent vraiment pas, et l’observation du museau revêt souvent des allures de contemplation laudative que le museau entretient à dessein, tout à fait conscient de l’impact de chacun de ses gestes sur ses parents.

Bref, et en quelques mots, gravier et chatigresse sont fondus (oui de chaleur, ca c’est sur) mais aussi et surtout d’amour pour leur petit.

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