La mère souris a cessé de plancher sur ses dossiers vendredi dernier (28 février, donc, pour ceux qui voudraient un repère spatio-temporel), enfin presque parce qu’elle plaide une dernière fois le 5 mars (demain, donc….) pour l’un de ses dossiers personnels… conscience oblige

Bref, tout cela n’est pas bien important et la mère souris profite surtout du gravier en liberté (il a un poil res-plen-di-ssant), et des quelques jours précédant the arrival of the mouse.

La souriteuse qui pensait sincèrement que la souris pointerait son museau dès les premières heures du mois de mars (comme ça, juste une intuition féminine, totalement erronée, au demeurant) finit par se dire que bon, ce n’est pas si grave, et la semaine prochaine, ce sera pas mal du tout.

Après tout, il y a bien eu une cousine en janvier, un cousin en février, et la souris pour le mois de mars, le contrat est presque rempli (désolé Fred, on a tout essayé pour le 3 mars, l’italienne, le bain chaud et la pleine lune, mais rien n’y a fait….)

Voilà les dernières nouvelles, qui s’étaient faites rares, certes, mais de bienveillants lecteurs qui pensaient que l’arrivée de la souris était la cause de cette interruption momentanée, nous ont rappelé à l’ordre : don’t worry, when the mouse is there, you’ll know it (almost instantly thanks to gravier, his mobile, his laptop and his camera which are already in his bag).

D’ailleurs, on ne parle que du sac de la maman et du bébé to be, mais jamais de celui du papa, et pourtant, il est très important ce sac (attirail multimédia permettant de ne pas être coupé du monde plus de trois minutes 12 secondes, et stock de galak, crunch, coca et autres junk foodies (more of some pig out party, it seems, but…anyway)

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