“Expression de parler”

“Euh, façon de parler, mon chéri, “reprend chatigresse, énamourée devant son museau, qui lui expliquait peu avant ce qu’était un tabac.
“C’est un endroit où on prend des cartes, qu’on gratte avec une pièce de monnaie, et si c’est beaucoup, on fait Ouais !!!! et si c’est pas beaucoup, on fait, ooooohhhh!”
Vous l’aurez tous compris, Sasha vient de définir le prochain storyboard des pubs franchouillaise des jeux à gratter.
Et on notera que la consommation de cigarettes dans la maison approche le seuil zéro, le tabac n’étant plus un lieu incontournable de passage, le samedi soir à 20h. (En même temps, les dés sont pipés, le tabac situé en dessous de la tanière de compiègne est ouvert tous les jours, dimanche compris, jusqu’à 21h environ, c’est de la provoc !)

Henry en constante progression

Le petit dernier de la maisonnée a atteint les 3kg540, le 31 mars dernier. Et 53,4 cm, avec ca !
Une belle bête qui grandit et grossit gentiment à son rythme.
Toujours des nuits faciles avec ce petit bébé, gentil, calme et paisible. Un bonheur, je vous dis !!
Son petit bras va très bien, et il le bouge sans souci. Ce n’est plus qu’un mauvais souvenir, ouf !

Sasha sait lire !!

Autodidacte, je vous dis, cet enfant !

Tous les soirs, Chatigresse se fait lire une petite histoire. Courte, attention, et en lettres batons, parce que Sasha décrète ignorer la lecture des mots en attaché….

Ceci étant, il y parvient avec une aide parentale.

Bon, on est loin d’une lecture fluide et courante, mais cela ne saurait tarder.

Moi, je file sur www.fnaque.com, commander l’intégrale de Balzac. Quoique, je devrais peut être opter pour Zola, ce serait plus dans l’air du temps….j’hésite !

Vu, Entendu

Anecdote racontée par Marguerite, maman d’Antoine, grand copain de Sasha.

Au parc, donc, Violette pleure parce qu’un “grand” l’a bousculée/tapée (c’est pas clair)….Mais, Sasha, aussitôt, informé, se rend auprès de l’auteur présumé afin d’obtenir de plus amples explications.
S : C’est toi qui as tapé ma soeur?
X : Mais j’ai pas tapé ta soeur !
S : Si tu as tapé ma soeur, elle pleure même !
X : Mais, non, j’ai pas tapé ta soeur !
S : Si, et d’abord, elle ment jamais ma soeur !

Si j’avais su qu’une imprimante noir et blanc suffisait….

…se dit chatigresse à la lecture de ce torchon qu’est devenu le figaro.
Mais lisez donc par vous même :

L’article est brillament intitulé : “De l’art de ne pas être maman”
(Note du Gravier: Figaro Madame? Devenu maintenant un autre organe de la modernité pour aider l’AFrance à changer)

« J’AIME MA VIE COMME ELLE EST » Partie 4
Marianne a entériné son choix : « Un soir, en sortant du bureau, je me suis dit que si je voulais un enfant, il faudrait que moi aussi, j’abandonne mon appartement parisien pour un pavillon en banlieue et un monospace. Ça m’a rendue profondément triste. J’aime ma vie comme elle est. »

(NDG: Je suis égoïste, conne et pleine de préjugés – ou alors la journaliste a été une vraie sal*pe en déformant mes propos, mais y avait matière quand même-)

Faire un enfant, c’est aussi un prolongement de soi. S’assurer d’une transmission. Là encore, elles sont unanimes. « La transmission ne se joue pas par la biologie. Je trouve prétentieux de vouloir transmettre son génome, confie Anna. Je suis chercheuse et formatrice en entreprise. Pour moi et pour mon ami, qui est artiste, il existe bien d’autres façons de transmettre. »

(NDG: prétentieux? Phioou, réaction en tout cas salvatrice, le “gene pool” a cru en qualité par ton abstention, Anna-formateuse-en-entrepreuse. Excuse moi de retourner élever mes enfants, chair de ma chair.)

« Rien n’empêche ces femmes d’être un adulte référent auprès d’autres enfants : neveux, enfants d’amis ou par le biais du bénévolat », souligne Emilie Devienne. C’est d’ailleurs ce que fait Marianne : « La photo d’un enfant noir trône sur mon bureau. Alors évidemment, ça fait jaser les collègues… C’est un petit que je parraine par l’intermédiaire d’une association. J’irai le voir l’année prochaine en Afrique. »

(NDG: Bon séjour. Tu verras, c’est exactement comme sur les documentaires animaliers l’Afrique. Et ton petit enfant noir, il sera ravi de te voir 5 minutes, mais après hein lave toi les mains et remonte vite dans ton quatre-quatre, direction l’aéroport, hein? Non, allez, parce que tu as bien une vraie vie, et elle est dans ton F4 à Oberkampf, avec les potes engagés que tu retrouves au café Charbon)

Pour lire l’original et se frapper le crâne, direction le Bigorneau Madrame

Salon de l’automobile, édition octobre 2008

Le salon de l’automobile n’est pas sitôt fini que chatigresse, qui a tout juste posé un pied sur le sol parisien de retour du blizzard (enfin un été indien, si l’on veut être honnête), s’est laissée tenter par un nouveau modèle de voiture.

Il faut dire que l’hésitation était très importante entre la nouvelle IQ de Toyota (où chatigresse imagine aisément caser mari et enfantsss) et une nouvelle smart.

Qu’à cela ne tienne, rien ne vaut un bon conseil, de l’homme de la rue, de préférence, un terrien, manuel, plein de bon sens et de pragmatisme : chatigresse a, donc, opté pour une smart cabriolet, la frime totale, du m’as tu vu sur roues, bref, la classe internationale.

Chatigresse s’est laissée convaincre, eh oui….lamentable, penserez-vous en votre for intérieur. L’affaire n’a pas été facile, la négociation fût ardue…

A sa décharge, chatigresse n’a, en réalité, pas eu trop le choix. On lui a un peu forcé la main. Jugez en par vous même :

Pour les explications : l’entreprise qui a monté l’échafaudage à côté de la smart gentiment garée évoque un acte de malveillance, car il paraît que c’est quotidiennement que des actes délictueux se commettent rue Saint Phil that rules. Et puis, c’est pas leur genre de laisser tomber des objets et de rien dire… Et puis, de toutes façons, ils n’utilisent que des planches de bois de 2 m sur 3, donc ca aurait détruit la voiture, si c’étaient eux.Et quant aux planchettes de bois posées à côté du cabriolet flambant neuf, bah, c’est le hasard, mais c’est pas eux, c’est juré…

Entre les murs

Lundi soir dernier, 6 octobre, réunion de parents pour les maternelles.

Première partie dans le préau, assis sur les petits bancs des trolls, à écouter sagement la directrice, pas un bruit, même pas un raclement de gorge, l’assemblée est subjuguée, ou amorphe, peux pas dire, en fait.
La pastorale, en particulier, rencontre un franc succès, le père H., curé de la paroisse a bien distribué quatre tracts pour l’éveil à la foi (dont un à la marraine de Miaulette, et le second à Chatigresse), no comment.

Deuxième partie, chaque enseignant reçoit les parents, de manière collective. Collective on vous dit, pas la peine de tenter de glisser un mot sur Perla ou Henriette en accaparant la maîtresse.

Quelques faits marquants :

dans la classe du Museau, ils sont 22 garçons pour 8 filles, telle une représentation symbolique de la société chinoise, en quelque sorte.
Lapino, la marionnette (lapin, bravo !) s’invite le week end chez un enfant et revient avec plein d’histoires à raconter le lundi matin. (t’es bien sûre que c’est une marionnette, il n’est pas vivant le lapino?, re-demande chatigresse à gravier qui a pris des notes).
Le Museau apprend à compter en polonais, le matin, voyage avec Ashan, le conteur, qui a un éléphant, Ganesh (marrant pour un éléphant) qui ressemble à Elmer, dixit Museau (pas sûr que le ganesh original soit aussi bigarré, tiens), déjeune à la cantine le vendredi (où il a toujours deux desserts, et finit, toujours aussi, ses légumes….ah ouais?). Bref, il vit sa vie de grande section, dans son école, où il a très aimablement consenti à accueillir Miaulette et MonCopainMa-Yeul.

Justement, les deux juniors, quant à eux, ont été filmés pendant une journée par leur maîtresse (qui devait être saoulée à l’idée d’expliquer une journée-type et a préféré la filmer et la montrer aux parents, bien vu ! —Une horde de parents a déjà commandé ce DVD, marrant à regarder une fois, mais pas sûr que le visionnage en famille soit bien excitant…)
Ce que l’on retient de ce film (une palme d’or plus politiquement correct que la vraie), c’est le joyeux chahut des ateliers puzzle, peinture, pâte à modeler et autres, du suspens lors du maniement des ciseaux, de la classe absolue dans le maniement de la gommette, une aisance naturelle lors des chants gestués (Plic, ploc fait la pluie…) et des scènes de cascade rémyjuliennesque notamment quand Ashan (cf + haut) demande aux enfants de se mettre à la queue leu leu… Moi, cela m’a plutôt évoqué les championnats du monde de dominos en cascade, c’était franchement hyper drôle.

(ahahaha. oui bon, j’imagine qu’il fallait y être vraiment quoi dit le papa qui, pendant ce temps, écoutait une Mme Machose demander des nouvelles inquiètes de son petit chéri Elmer-Edouard que les grands n’embêtaient pas trop j’espère)

Fidèles lecteurs, on vous doit la vérité !!

En ces temps de crise internationale, financière, militaire, sociale, politique, économique, boursière, capitalistique et bien d’autres encore, que sais-je, la transparence est une vertu.

Aussi, nous, humbles plumitifs de la sourisdansepointcomme, avons-nous décidé de tout vous révéler.

Museau et Miaulette s’associent pleinement à cette démarche qualité, naturellement.

Point de scandale, toutefois, nous laissons cette rubrique à nos amis chinois.
Point de faillite du système compiègnien, la rentrée s’est bien passée, et l’écosystème fonctionne parfaitement.

Non, juste une news postée pour annoncer l’arrivée, dès mi/fin mars 2009, de renfort dans les troupes. Voilà, on dit bien jamais deux sans trois, après tout.

J’entends, d’ailleurs, d’ici, mon ami Ricky M. fredonner Un, dos, tres !!!

Turlupeinture

Aujourd’hui, dimanche, il a fait beau. C’est chouette aussi parce que Paris sous la pluie, maintenant, c’est un peu un air connu.

Réveil un peu hâtif des museaux, vers 8h34. Biberons, tartines, semi-coma du père, plaçage d’enfants face à Disney et sa copine Lilo et son copain Stitch, et retour horizontal de la demi-parentèle.
Messe, où l’on retrouve Mamoune, qui nous emmène sous un doux soleil déjeuner d’indiens sans cowboys au Passage Brady.

Puis on rentre à la maison, en marchant tranquillement, fille sur les épaules et garçon à la main (“Papa, tu sais, tu sens la même odeur que Mamoune. Mais c’est normal, c’est ta maman, tu es sorti de son ventre”. Soit cet enfant a un odorat de chien de chasse, soit il est psychologiquement trop en avance et perversement manipulateur)

Et l’après-midi, la maison se transforme en atelier peinture.
ChaTigresse a décidé de faire un peu de déco, et le salon va se prendre un coup de peinture rapide.



Miaulette est d’accord, c’est top.

Pendant ce temps, les museaux, dans la cuisine, et sur papier, rajoutent de la couleur aussi avec des pinceaux.


Le Museau est d’accord, c’est top.

Miaulette finira par s’écrouler sur le canapé pour une sieste pirate.
La semaine commence fort !

Du neuf, du neuf, du neuf

Les gens en veulent toujours plus. Exigeants, pointilleux, pinailleurs.
Et bien, vous l’aurez voulu.
Voilà de la news neuve nouvelle :
Les museaux ont, désormais, des copains de garde.
Compiègne a, en effet, désormais de nouveaux occupants le jour.
Mais surtout, n’allez pas nous imaginer en marchand de sommeil, non, loin de nous, cette odieuse idée. On est autrement plus inventif et astucieux.
En fait, et en l’espèce, le délicieux Mayeul et le craquant Nathanaël sont désormais les nouveaux demi-pensionnaires de la très prestigieuse institution de Compiègne, dont la directrice, intraitable, n’est autre que notre super nanny à nous : Aïcha.
La première journée fut un succès. Voilà, ca roule, et c’est bien cool, tiens !
Mais la maison est bien vide après le départ des demi-pensionnaires……et les internes commencent à récriminer en demandant des soirées pyjamas.
En même temps, c’est bon signe

PS : on n’était pas très inquiet sur le succès de l’opération
PS1 : c’est chouette cette petite troupe
PS2 : nan, vraiment
PS3 : trop, trop cool

Pola-droïde

On retrouve un vieil appareil et un film, de chez Polaroid. (Attention, les usines ferment, bientöt les films ne se vendront plus que dans les arrières boutiques de stocks de l’Armée Rouge, faites vos provisions, à garder au frigo !)

On essaie de faire un sourire, non, un vrai, un qui montre bien les dents. Miaulette, regarde par ici !
Tchak ! bzzzzt…
Et l’image doucement se revèle sur le papier moiré de grisailles incertaines. On devine… une tête, des yeux oui des dents, argh des dents, partout !

Et voila, trop tard, on a foutu en l’air une photo sur les dix restantes, pourtant un truc qui vaut une fortune, parce que les Polas, de nos jours, plus personne n’en fait !
Mais jugez plutôt:

Museau branchouille

Les temps changent…
Les enfants ne sont plus d’innocentes créatures qui feuillettent gentiment les histoires du Père Castor.
Roule Galette est bien loin…
En témoigne cette anecdote dont nous fûmes les témoins (pliés de rire, évidemment), ce matin au supermarket du coin, où nous ramassions les derniers items manquants pour la semaine.
Au rayon jambon, une dame demande à Sasha s’il peut se pousser parce qu’elle souhaite attraper du Fleury Michon 4 tranches, avec couenne
Sasha, fort civil, lui répond par l’affirmative et se déplace d’un demi millimètre. Puis lève le museau, et tombe nez à nez avec Madame ***, notre ancienne gardienne de Belfon.
Et Sasha, médusé, qui cherche, cherche, puis finit par lancer un “Bonjour Madame !… Maman, c’est Madame Arobase !” du plus bel effet (on y retrouve les consonnes, les voyelles, mais certainement pas le nom de la gardienne en question)
Tout est dit.
On en rigole encore.

Compiègne-Montréal-Halifx-Saint Pierre et Miquelon and back

La vie récente de chatigresse ressemble à un panneau d’affichage d’aéroport….cf le titre.

Compiègne, c’est un moindre mal, c’est la nouvelle tanière, et c’est la rue, pas la ville. Amis parisiens, ne craignez rien.

Pour le reste, cela se passe de commentaires, hormis que chatigresse est partie le week end au cours duquel Sasha a eu 5 ans (ce n’est toujours pas digéré…….par la mother, le bonhomme le vit très bien, c’est, au demeurant, l’essentiel, mais qu’est ce que les filles psychotent alors…..)

Chatigresse est également partie le worst week end dans la vie d’un montréalais, l’aéroport a été fermé pendant 2 jours because la neige, c’est dire l’étendue des dégâts, parce qu’un montréalais afraid of la neige, j’en connais pas, perso.

Bref, chatigresse, pas bien dans ses nouvelles baskets encore, a passé plus de temps dans l’avion, le lounge, la douane, le lounge, le duty-free, oh, le vivier de homards vivants à Halifax….., l’hôtesse stupide d’Air Canada, le lounge, la douane avec Vroum le chien douanier de Saint Pierre, and back pour le retour à Paris qu’à Saint Pierre……no comment.

On saura si ca valait la peine le 14 avril prochain.

Perso, la certitude de chatigtresse, c’est que rater les 5 ans de son fafa d’amour, c’est naze……voilà

Le reste, elle s’en fout.

Bon, il faut maintenant passer aux choses sérieuses. La fête, viendez à Compiègne, et Quompiègne qui pourra, puisque c’est la nouvelle devise. Pour ceux qui auront comprendu, les codes, c’est 412X puis 3025, 1er étage.
La bibine (mauvaise expression canadienne s’il en est) est au frais, any time. don’t even bother to phone. We are here and ready.

Bisoux

20km à cale-pieds, ça use, ça use

20km à cale-pieds, ça use les pédales.
Aujourd’hui, montrage de vélo de petit garçon à grand-parentèle. Rochechouard-Boulogne Point du Jour, en deux-roues (6 en tout), Miaulette en pilote endormie de sa Maman, et le Museau en tandem assistant pédaleur de son Papa.

Départ après la messe, passage rue Cadet pour s’équiper en charcutaille et autres pâtés GrandMère, et vogue la galère (pour certains, c’est bien le mot, et mon regard ne va pas du tout vers ChaTigresse, laquelle n’a pourtant pas du dans toute sa vie parcourir plus de 300km en vélo, dont un bon tiers depuis un an), passant par Concorde, l’Alma, les quais, le seizième triste de bord de Seine, pour une arrivée triomphante une heure et demie plus tard (oui, il y a tout de même 11km, et je ne veux pas entendre de commentaires sur la vitesse d’un bon marcheur (5-6km/h), nous étions en vélo).

Déjeuner de famille, et retour avant que la nuit ne tombe (“sinon, “explique-t-on au Museau,” les loups sortent” – “Pas du tout, Maman, ils n’aiment pas le bruit des voitures les loups, pfff”), pour retrouver les oncle et tante Cam&Dom qui en combi vélo-rollers, nous aident à remonter jusque la maison, où le dîner sera fait de gratin de Crozets).

Les jambes ramollies, le fessier meurtri, les parents se couchent vite vite, car demain le Papa part swinguer à London pour la semaine, et la Maman va devoir tenir sa petite maisonnée toute seule.

Bonne nuit à tous (les enfants sont éteints depuis longtemps, le grand air frais sans doute)
(tapé par le Gravier sur le compte de la ChaTigresse, trop la paresse de changer)

Museaux, édition 2008

Depuis leur refuge de haute montagne, en Vanoise, d’où, sous le soleil et dans le froid vif, ils regardent arriver l’année nouvelle à petits pas feutrés, sur la neige craquante, les Museaux n’envoient pas de essèmèsses, mais deux frimousses électroniques pour vous embrasser.

A part ça, il fait frais, il fait beau, on se déplace en luge dans le village, le chalet est un nid douillet de bonheur, le Museau fait du ski avec ses mo-ni-keurs, Miaulette aime bien la neige et les feux d’artifice, et les parents prennent du soleil plein les yeux sur ces pistes blanches d’une belle neige d’hiver.

Et voeux spéciaux tout doux à Livia de G***, princesse du trente-et-un, qui aura réussi à être le dernier bébé de l’année deux mil sept !

Quatre arrière-petits enfants et un enterrement

Que dire, on a tous beaucoup de peine, on s’est revus, et ca, c’est chouette. Dady peut être fier de sa famille.
Tante Jeanne est plus espiègle que jamais, la Suède est rayonnante, le dernier arrivé est un super bébé, sage, souriant, beau comme un astre, le 9-3 boit toujours autant de champagne, les cousins des montagnes ont toujours bien l’accent…
La famiglia, quoi !!