…se dit chatigresse à la lecture de ce torchon qu’est devenu le figaro.
Mais lisez donc par vous même :
L’article est brillament intitulé : “De l’art de ne pas être maman”
(Note du Gravier: Figaro Madame? Devenu maintenant un autre organe de la modernité pour aider l’AFrance à changer)
« J’AIME MA VIE COMME ELLE EST » Partie 4
Marianne a entériné son choix : « Un soir, en sortant du bureau, je me suis dit que si je voulais un enfant, il faudrait que moi aussi, j’abandonne mon appartement parisien pour un pavillon en banlieue et un monospace. Ça m’a rendue profondément triste. J’aime ma vie comme elle est. »(NDG: Je suis égoïste, conne et pleine de préjugés – ou alors la journaliste a été une vraie sal*pe en déformant mes propos, mais y avait matière quand même-)
Faire un enfant, c’est aussi un prolongement de soi. S’assurer d’une transmission. Là encore, elles sont unanimes. « La transmission ne se joue pas par la biologie. Je trouve prétentieux de vouloir transmettre son génome, confie Anna. Je suis chercheuse et formatrice en entreprise. Pour moi et pour mon ami, qui est artiste, il existe bien d’autres façons de transmettre. »
(NDG: prétentieux? Phioou, réaction en tout cas salvatrice, le “gene pool” a cru en qualité par ton abstention, Anna-formateuse-en-entrepreuse. Excuse moi de retourner élever mes enfants, chair de ma chair.)
« Rien n’empêche ces femmes d’être un adulte référent auprès d’autres enfants : neveux, enfants d’amis ou par le biais du bénévolat », souligne Emilie Devienne. C’est d’ailleurs ce que fait Marianne : « La photo d’un enfant noir trône sur mon bureau. Alors évidemment, ça fait jaser les collègues… C’est un petit que je parraine par l’intermédiaire d’une association. J’irai le voir l’année prochaine en Afrique. »
(NDG: Bon séjour. Tu verras, c’est exactement comme sur les documentaires animaliers l’Afrique. Et ton petit enfant noir, il sera ravi de te voir 5 minutes, mais après hein lave toi les mains et remonte vite dans ton quatre-quatre, direction l’aéroport, hein? Non, allez, parce que tu as bien une vraie vie, et elle est dans ton F4 à Oberkampf, avec les potes engagés que tu retrouves au café Charbon)
Pour lire l’original et se frapper le crâne, direction le Bigorneau Madrame