Nota : Sashatigrou est une marque déposée, appartenant à la gravier ltd, dont le siège social est sis au Sasha’s club, à Bellefond. (librement inspirée au gravier par la mère porteuse, Chatigresse)
Sashatigrou, donc, ne rampe toujours pas, contrairement à Mathilou qui file comme l’éclair….Donc nous ne pourrons pas cocher la case : se déplace, dans le carnet de santé pour l’examen du 9ème mois, la semaine prochaine, sauf bien sur, major improvement d’ici là.
Mais Sasha le museau s’exprime, et de manière très claire : il sait crier DADA (ie Papa dans notre langage commun, enfin, c’est ce que nous croyons) dans les oreilles du gravier pour lui signifier qu’il a fini son biberon et qu’il serait plus que temps de le redresser pour le clouc’ : évidemment, le gravier fait des sauts de carpe dans le lit, ne comprenant rien à ce qui lui arrive, et surtout se demandant s’il a mérité tout cela….
Le museau a également découvert que lorsqu’il était las de certains de ses jouets, il suffisait de balayer avec les bras devant lui et tout disparaissait : globalement, tout vole sur les côtés et c’est assez impressionnant. Le parc de sa souritesse n’est alors plus qu’un grand espace soufflé par quelque ouragan subit tels ceux que l’on observe aux States (eux savent…..la preuve en est qu’ils ont donné des prénoms de petits d’homme à leurs tempêtes dévastatrices : on sait désormais d’où leur est venue l’inspiration : les bébés !)
Pour l’heure, sa souritesse se repose, après un biberon dégommé en quelques minutes, et une martyrisation systématique du gravier, qui, toutefois, nullement troublé a continué sa nuit, en grommelant vaguement quelques sons inintellingibles.
Car sa souritesse a mis en oeuvre une autre de ses trouvailles pour se faire comprendre : caressage de l’oreille = nécessitage de sommeil : ca rime donc on ne peut pas se tromper et c’est souvent accompagné de quelques baillements fort peu discrets que Chatigresse surveille attentivement, inquiète de ce que son petit ne se décroche pas le maxillaire inférieur.
On rassure nos amis lecteurs : caressage de l’oreille n’a rien à voir avec les pratiques des chats de gouttière qui passant leur patte derrière l’oreille annonçent une pluie imminente. Non, voyons, sa souritesse est beaucoup plus élaborée, enfin. Pfff, la comparer à de vulgarus félinus domesticus, et puis quoi encore !