Dimanche de pluie, mais dimanche joli.
un réveil tardif peut-être, mais qui, grâce à une organisation de maître par les Double-G, est vite oublié, quand dans la MouseMobile nous filons pour brouncher au Rival (avenioue Georges Vi, un de ces cafés parisiens modernes et branchés où il semble chic de prendre un verre près des Champs. Mais l’établissement est calme et la carte sympathique):
nous y attendent les VIP Violante, Virginia, Alex, Henrik et Antoine, pour un déjeuner entre bons amis.
Les garçons se démettront plusieurs vertèbres à tenter d’admirer, sans encourir les foudres de ces dames, les plastiques agréables du personnel (adorable, souriant et serviable, chose étonnnante pour un tel établissement) et de la clientèle (presque vulgaire et longue en jambes, un classique de la parisianité branchée) qui passe et repasse, et s’admire dans les grands miroirs en ignorant les regards.
Le museau, lui, ignore les gesticulations de son Papa, qui commente les grâces des personnes du sexe que son regard rencontre, et les commentaires désobligeants de la ChaTigresse, soutenue en ce point par Virginia (qui maintient fermement une main-oeillière sur les yeux du Tonio), il dort sans discontinuer, s’offrant seulement une pause déjeuner vers l’heure du café.
Il sera donc en pleine forme pour la seconde partie de la journée, qui nous amène à Boulogne, pour croiser ses grands-maternels (et se faire tirer le portrait électroniquement par son grand-père, qui a promis à l’auteur de ces lignes de mettre bien vite ces photos en ligne).
Retour à la maison après un bon dimanche, autrement plus actif que le samedi, et demain, la comptabilité libérale remet le grappin sur la ChaTigresse