Donc Porquerolles….
Après un démarrage en douceur, comme tous les matins, le museau et sa fine équipe se sont dirigés vers le port de la Tour Fondue sur la presqu’île de Giens, et là fût garé le camion (oui, ca fait un peu teufeur, le camion, mais c’est bien pratique avec un museau suréquipé)
L’embarquement sur le bateau fut majestueux, le capitaine du bateau (aka contrôleur des billets, navigateur, mécanicien, commentateur des fonds marins de temps en temps, mais aussi le lanceur d’amarres) nous accueillit de rechef.
Le museau pour sa première fois en bateau s’est parfaitement comporté. Chatigresse s’est mis le nez au vent, en poupe du navire, et le gravier s’en est grillé une, histoire de.
L’île de Porquerolles est un charmant endroit, et le museau a voulu pique niquer sur une plage, ce qui fût aussitôt dit et fait.
Les parents ont ensuite demandé un petit coin d’ombre pour siroter leur goûter, et c’est une terrasse ombragée aux allures coloniales qui a fait l’affaire.
Le retour en bateau a été également fort apprécié du museau, qui a babassé avec sa souris pendue à la capote de son landau : sans doute lui commentait il ses impressions nautiques.
D’humeur vagabonde, les parents du museau ont ensuite arbitrairement décidé de musarder (oui, en camion, toujours) sur les petites départementales pour revenir à bon port.
L’apéro (y compris pour le museau) sur le port de Cassis, après la vertigineuse route des crètes depuis la Ciotat a clos cette journée.
Après toutes ces aventures, chatigresse et le gravier sont à plat mais bon, en même temps, c’était trop cool.