Il assiste notre gardienne en servant de concierge, s’assurant que les passages dans la cour sont bien légitimes
= imageFrame("http://lasourisdanse.free.fr/sasha/pics/conc2.jpg","Face à la cour")?>
=imageFrame("http://lasourisdanse.free.fr/sasha/pics/conc1.jpg","C'est cool, non?")?>
C’es bien, ça l’occupe et ça lui fait un petit boulot.
Category: Non classé
Le Museau en caméra
Sasha, un an tout rond! (deuxième série de photos)
Sasha: un an déjà
Lundi 8 mars 2004
Sasha a eu un an.
Déjà !!!
Il avait, pour ce faire, réuni sa famille autour de lui et a pu montrer ses talents divers et variés.
Comme promis, un gâteau au chocolat lui a été donné : écrasé dans un yaourth, le gateau a été liquidé.
Sasha a également goûté le champagne, qui coulait à flots. Un doigt de champagne, de son papa ou de sa marraine, et Sasha en a redemandé, reprenant la main afin de la porter à son museau !!!!
Sasha a naturellement été pourri gâté : faire la liste de tous les présents serait comme décrire un catalogue de jouets….
Toujours est il que Sasha s’éclate au milieu de tous ses nouveaux joujoux.
Le 1er birthday de Sasha : J moins 8
Branle bas de combat, préparatifs fébriles, organisations, planifications, réorganisations, prévisions, bref un vrai projet.
Pour l’instant, tout est couvert par le secret le plus absolu.
Une seule information, exclusive, et pour vous seuls lecteurs du site de la souris : Sasha soufflera sa première bougie comme un grand, tout seul, (2 semaines qu’il s’entraîne avec sa maman à coup de fff, pffff, et autres encouragements). La bougie sera plantée dans un gâteau au chocolat fait à la maison, et selon une recette familiale secrète. Le plus : Sasha sera le seul à goûter ce met : en effet, affublé d’une blouse bavoir en plastique, il aura tout le loisir de mettre ses petites mains dans le gâteau et d’en goûter les subtiles saveurs.
Naturellement, un reportage photo sera publié le jour J. Et le site vous livrera régulièrement les détails de ces festivités.
Teasing and Happening.
test avec l’apostrophe
Juste un test pour les erreurs IE
Comments are back!
J’ai remis en place les commentaires.
J’ai toujours un souci avec votre stupide brouteur Internet Explorer, qui fait une erreur dont l’origine est inconnue, tant pis, passez outre.
Et n’hésitez pas à commenter!
Sasha nous reçoit, en tenue de bain
Essclusif: une entrevue avec Sasha, à l’occasion d’un de ses nombreux bains…
L’entrevue, en images
Sasha prend soin de sa personne
Problème technique et technologie épatante
Vu que Internet Explorer pour Windoze ne me fait que des bugs à cause du système de commentaires, je désactive ces commentaires le temps de comprendre l’erreur…
Pour vous faire patienter, voici la simulation de notre chambre d’ami, pour crâner avec mon iMac.
Cliquez l’image
(euh, il n’y a pas de livres dans l’étagère parce que je n’avais pas envie de les dessiner un à un…)
Enfin, un hommage à leur juste valeur rendu aux souris
Lu sur Yahoo actualités, on n’y croyait plus :
MYCHKINE (AFP) – Les trains ne s’arrêtent pas à Mychkine et les bateaux n’y amènent de voyageurs qu’en été. Mais cette petite ville russe perdue aux bords de la Volga a une vie culturelle intense et espère développer le tourisme grâce à des curiosités, tel le musée de la souris.
Dans une isba de bois ayant appartenue jadis à des marchands habitent aujourd’hui 4.528 souris: en peluche, porcelaine, cire ou coquillage, elles ont été envoyées là des quatre coins du monde. Le musée a même reçu en cadeau de vraies bêtes, y compris une “souris mutante”, mais il les a laissées partir. “Il n’est pas bon de tenir en cage le protecteur de la ville”, explique Nikolaï Louchine, directeur du musée de la souris.
La souris (mychka en russe) est une bête sacrée de cette ville de 6.000 habitants à 300 km au nord de Moscou, qui porte son nom: d’après la légende, c’est une souris qui, en 1523, a sauvé la vie du fondateur de Mychkine, Fiodor Mstislavski, le réveillant alors qu’il était menacé par un serpent.
“Les pièces exposées viennent de Hong Kong, d’Allemagne, d’Italie, d’Inde, de Chine, et même de Hawaï. Une retraitée allemande nous en envoie une par an”, raconte M. Louchine. Chaque souris est enregistrée dans un gros livre et le musée adresse à son expéditeur une lettre de remerciement et un certificat tamponné “Musée de la souris”.
Les premières pièces ont été offertes par le barde russe Boulat Okoudjava et par l’académicien Dmitri Likhatchev qui a avoué dans l’un de ses essais son amour pour Mychkine, une ville qu’il n’a jamais visitée.
Les chats de Mychkine sont curieusement attirés par cet endroit. Et le musée de la souris est en correspondance régulière avec le musée du chat de Siauliai, en Lituanie. Les deux espèrent faire un jour une exposition commune. “Nous n’avons rien à craindre: les souris sont plus nombreuses que les chats”, explique en souriant M. Louchine.
Le grand projet de Mychkine pour l’instant est la préparation du “deuxième festival international de la souris” prévu dans la ville en 2008. “Le premier festival de la souris a eu lieu en 1996. Le prochain se tiendra 12 ans plus tard. Il faut une pause pour ne pas gaspiller le potentiel créateur”, dit Svetlana Dourandikova, responsable de la mairie chargée du tourisme.
D’ici là, la ville compte construire deux centres de divertissement et des hôtels pour accueillir les invités, ajoute Piotr Volkov, responsable du développement économique.
Mychkine n’offre actuellement que 20 chambres d’hôtels, mais déjà beaucoup d’attractions touristiques: la vieille architecture russe est intacte, trois théâtres et dix musées s’y trouvent, dont ceux de Piotr Smirnov, fondateur de la marque de vodka du même nom, et des valenki, les traditionnelles bottes de feutre russes.
L’initiateur de la création des musées de Mychkine, sortis de terre les uns après les autres entre les années 1960 et l’an 2000, est l’historien Vladimir Gretchoukhine. “Ce ne sont que des petites misères bigarrées”, dit-il faussement modeste.
“Quand on jette des pierres sur l’herbe, celle-ci pousse mieux, par résistance. De même, notre petite ville tente d’affirmer son moi dans cette civilisation d’asphalte”, dit-il dans sa langue ampoulée, recevant dans une pièce encombrée d’une multitude d’objets anciens.
Promis, on va contribuer à renforcer l’armée des Myshka !!!!
Nom de guerre : crevette crevée
valable entre 19h et 20h15 les soirs après la journée chez la nounou.
Le nouveau nom de code du museau qui babille des craï, craï, craï à tout va (pour votre parfaite information, c’est le cri des crevettes dans l’océan….si, si !!)
Bref, le museau est épuisé après une journée de jeu et d’amusement chez sa copine de garde.
Sasha avait, de surcroît, aidé ses parents dans leur recherche du canapé lit idéal (on a proposé à M6 de lancer une émission sur ce sujet, surtout que ca nous aiderait bien, mais le concept n’a pas plu). Samedi a donc été une course éperdue pour le trio, éperdue et vaine. Conclusion : un canapé lit, c’est moche, c’est gros, c’est pas confortable, et c’est cher. (Mais qui voudrait d’un machin pareil, non franchement?)
Puis, dimanche, pendant que le gravier faisait des simulations de bougeage de meubles dans son bureau, chambre d’amis, salle télé, bibliothèque, cosy corner (tout cela alors que la pièce ne fait que 12m2), pour trouver à la pièce sa configuration optimale, chatigresse et museau ont joué, lu, chanté, rangé (à la façon de sasha) et cocooné au chaud.
Tartine de comptine (mise à jour)
Le papa de Sasha s’amuse avec son nouveau jouet.
C’est affreux. Il va pleuvoir, c’est sûr:
La comptine du Lapin (musique)
La brrrrggrdbang du Lapin (musique?)
Chatigresse s’est fachée très fort ce soir pour la première fois
au grand dam du museau qui s’ingéniait à vouloir attraper la collerette de son abat-jour, et ce malgré les “non” fermes et répétés de sa maman.
Chatigresse a dû hausser le ton, ce qui a fort déplu à Sasha qui comprend parfaitement le sens dudit mot.
L’incident n’a duré que quelques instants et dés après, le museau babillait et jouait gaiement, tout était oublié.
Enfin, chatigresse se dit que faire preuve d’autorité, ce n’est pas fastoche fastoche quand même.
Cartes postales de Marseille
Chers amis,
Avant hier et hier, il a fait très froid et très mouillé dans le Sud. En plus, le chauffage de la grande maison ne marchait plus.
Alors, depuis, on est allé se réfugier chez la GrandParraine, qui a vue sur la Mer…
On y est bien…
(ci-joint des photos pour vous le prouver)
On vous embrasse fort, et à la semaine prochaine!
Sasha et ses parents
Le soleil
La bouffe
La GradParraine au soleil
La mer
je fus malaaaade, complètement malaaaade (mais ça va mieux merci)
Paris est envahi par tous les virus possibles et par une sale pluie persistante.
Et Sasha a fait le bonheur de sa GrandPaternelle (la mère de son père, donc) en se débrouillant pour, le soir (mardi) où elle le gardait, se mettre à vider violemment son estomac (sur la moquette spécial jeux du salon entre autres) et à présenter les symptomes du début de gastro qui l’afflige depuis.
Si Fofie (la GrandMaternelle) fut un peu soucieuse, elle y gagna la joie d’avoir la compagnie de Sasha réveillé et souriant -m?me malade, Sasha reste d’humeur égale- jusqu’à tard au retour des parents du museau, avec lesquels elle appela un medecin de garde. Sasha va bien, il a juste (juste?) une gastro-entérite virale. Il est donc plus calme, chantonne moins dans son lit, fait d’enormes siestes, et provoque une frénésie de machines à laver (un bébé qui se vide de tous cotés, ca salit pas mal, pardon pour les details).
Du coup, les plans de ouiquende ont failli être bouleversés.
Mais tout s’arrange, puisque le bon docteur a dit que Sasha allait quand même très très bien, voila les médicaments, et bon ouiquende à vous.
(Et le bon docteur a rassur? le Gravier, si Sasha aime le roquefort -c’est le cas, et le reblochon, et le st marcellin, etc-, il n’y a pas de raison de l’en priver.)
Alors on file demain par le premier tégévé rejoindre la ChaTigresse qui plaide à Massilia, pour passer un ouiquende dans la maison ([photos]) du Papa du Gravier dans la cité phocéenne.
On essaiera de vous en dire plus, en attendant je finis mon sac et vais me coucher, StephAmie me fait un réveil téléphoné demain à 8:00 tapantes…
Tous en choeur !!
Un petit lapin
s’est caché dans le jardin
Cherchez le
Coucou, coucou
Il est caché
sous un chou
Voici les paroles de la comptine de Sasha, gestuelle à l’appui (nous on chante, et Sasha fait le mime)
Des photos vont venir illustrer cette comptine, patience !!
PS : Le Lapin en question, c’est Jojo, pot de colle. Ceux qui ont une bouteille au Sasha’s comprendront.
Génial! Nouveau! Exclusif! Interactivité du SashaBlog! Commentaires etc!
A partir de dorénavant, et jusqu’à désormais, vous pouvez directement laisser des commentaires pour chaque niouze!
Plus besoin d’envoyer un mail aux auteurs! (en plus, à chaque commentaire inscrit, on reçoit un mail avec copie du commentaire, alors…)
Vos réactions à chaud sur les aventures du Museau seront lisibles par tous!
(alors, mollo, hein?)
Le niveau de ce site en sera considérablement amélioré!
(c’est pas dur, ok)
Il vous suffit de cliquez sur le lien ci-dessous “[Ecrivez un commentaire]” et hop!
Si des commentaires sont écrits par d’autres, vous le verrez dans cette même ligne.
Et cliquant sur le même lien, vous pourrez les lire, avec vos yeux à vous!
C’est trop génial! Je suis brillant! je crois même que je vais installer ça sur le site de Zig&Puce, tiens. Mais demain, parce qu’il est tard là!
Ah, le progrès. Sasha n’en revient pas…
Un éléphant, ça trompe…
Sasha, dompteur et ami des bêtes, ne supporte pas qu’un autre que lui puisse ronfler trop fort.
alors si vous êtes un animal possedant un appendica nasal marqué, méfiez vous de votre compagnon de lit, qui pourrait, si vous ronflez trop fort, vous coincer direct. (cliquez pour comprendre que Ferdinand n’est pas content)