Et voici les photos qui vous mettront un visage sur le prénom de cette petite Souris…



[http://homepage.mac.com/barthex/themouseproject/PhotoAlbum22.html]


Quoiqu’on ne puisse plus vraiment parler de Souris, là.

C’est un bon garçon.

(Et son maquillage de peau rouge, c’est parce que les nurses ont un peu la flemme de nettoyer le desinfectant pour les yeux qu’on met dans les paupières des bébés à peine émergés de la chaleur de leur mère…)

(Bon, ok, c’est parce qu’il a mis ses peintures de guerre pour venir vous affronter tous…)

La Souris s’appelle Sasha (Sasha François-Marie Lawrence, je sais, on est des crâneurs), pèse 3kg460 à la sortie de son mobilhome, et a des cheveux plein la tête.

Bien entendu, avec un prénom comme ça, c’est un garçon.

Il est gentil tout plein, a des grands yeux qui vous suivent comme si vous alliez lui indiquer la source eternelle du lait maternel, est déjà considéré comme la 8eme merveille du monde par quelques parents et grands-parents déjà gâteux (but your mileage may vary), et semble promis à un bel avenir avec les parrain-marraine qu’il s’est vu affubler (une rebelle graphisteuse et un conseiller d’état habillé en djeun’s).

La maman survit à un accouchement hyper rapide (okay, 5h de contractions en chambre, 3h de travail en salle, et 17 mins d’accouchement réel) et commence à alimenter la bête qui aime ça, et qui aussi aime bien son père, même s’il n’a pas de lait à lui donner (mais a une voix apaisante, on dirait)….

Et voici les photos qui vous mettront un visage sur le prénom de cette petite Souris…



[http://homepage.mac.com/barthex/themouseproject/PhotoAlbum22.html]


Quoiqu’on ne puisse plus vraiment parler de Souris, là.

C’est un bon garçon.

(Et son maquillage de peau rouge, c’est parce que les nurses ont un peu la flemme de nettoyer le desinfectant pour les yeux qu’on met dans les paupières des bébés à peine émergés de la chaleur de leur mère…)

(Bon, ok, c’est parce qu’il a mis ses peintures de guerre pour venir vous affronter tous…)

La Souris s’appelle Sasha (Sasha François-Marie Lawrence, je sais, on est des crâneurs), pèse 3kg460 à la sortie de son mobilhome, et a des cheveux plein la tête.

Bien entendu, avec un prénom comme ça, c’est un garçon.

Il est gentil tout plein, a des grands yeux qui vous suivent comme si vous alliez lui indiquer la source eternelle du lait maternel, est déjà considéré comme la 8eme merveille du monde par quelques parents et grands-parents déjà gâteux (but your mileage may vary), et semble promis à un bel avenir avec les parrain-marraine qu’il s’est vu affubler (une rebelle graphisteuse et un conseiller d’état habillé en djeun’s).

La maman survit à un accouchement hyper rapide (okay, 5h de contractions en chambre, 3h de travail en salle, et 17 mins d’accouchement réel) et commence à alimenter la bête qui aime ça, et qui aussi aime bien son père, même s’il n’a pas de lait à lui donner (mais a une voix apaisante, on dirait)….

Pas de fausse alerte… La Souris est en train d’arriver. Mais ça va prendre le temps (qu’il faut laisser au temps)…

StéphAmie est allongée sur son lit de clinique (en train de jongler toutes les 5 mins, au retour régulier de contractions qui sont en train de préparer le passage de la bête), la sage-femme revient toutes les 2 heures pour constater que les choses avancent doucement, et le Gravier, après avoir semi dormi sur un sol d’hopital dur, passe prendre un café réparateur mais bref chez son camarade Djoule qui habite à deux pas (et qui risque de me voir souvent…) et vous informe en direct live ds derniers déroulements (quelle conscience professionnelle, ce ouebreporter)

Donc la prochaine fois que je repasse sur ces pages, ce sera pour vous informer du sexe, du poids et du prénom de cette satanée Souris!

Je prends mon café et je file, ma Souriteuse m’attend, seule éperdue sur un lit blanc dans une chambre aussi blanche, mais avec de gentilles (si ce n’est un peu braves) infirmières (“ah, moi ça a aussi duré des heures, et j’ai jonglé, hein… Courage, vous allez voir, c’est pas drôle” “Euh, merci madame”)

PETIT MAUX DOUX (tout futile et superficiel)

Dernière consultation chez le médecin des filles et de la souris : la souris aurait un poids de 3,8kg….(le bibtou dit qu’elle peut se tromper, mais ce sera quand même une belle souris !)

On est loin des 2,5kg grand maximum envisagé par Stéphamie au début de son souritage. (les données de la souriteuse étaient vraiment erronées, mais alors vraiment !!)

Et puis la souriteuse a pris 3kg en 3 semaines, et du coup, elle est interdite de fruits et de sel. Alors, elle n’est pas fière la souriteuse. Du coup, elle fait museau, profil bas, et se réfugie sous la moquette en guise de contrition.

Au final, ce n’est pas bien grave parce qu’elle n’avait pas trop pris de poids, et que cela ne se voit pas (d’ailleurs elle ne l’avait pas vue la souriteuse, et c’est la balance qui l’a dénoncée), mais ca mine quand même pas mal le moral parce que la souriteuse, c’est une fille, et les filles, ca aime pas quand ca prend du poids.

La souriteuse, qui pensait, vendredi dernier, ne plus plaider, a finalement remis ça hier au Conseil de Prud’hommes de Nanterre….(ne lui demandez pas la raison de ce changement de dernière minute, elle est suffisamment agacée comme cela)

Bref, elle a plaidé, elle est rentrée, elle a fait une sieste car elle n’était plus bonne qu’à dormir (on s’épuise pour un rien à ne plus travailler….)

Mais là, c’est bel et bien fini !!

Quant à la souris, et comme le montre la photo ci-dessous, elle prospère au chaud, fait quelques entraînements d’aérobic, step et cardio-training en piscine de temps à autre, et c’est tout : aucune velléité d’amerrissage, rien, pas un signe, le calme plat….

Bon, bien, still waiting for da moment !

La souriteuse n’est pas contente du tout, du tout, du tout

Elle pensait passer tranquillement à son bureau, récupérer le dossier à plaider, et sa robe : non seulement ses clients se sont jetés sur elle comme la faim sur le pauvre monde (interprétation libre…), mais encore, tout a été compliqué à l’extrême à gérer.

Il y a des soirs comme ça, mais là, survoltage et crise de nerfs pas loin….et l’autre mère porteuse du cabinet en a convenu : les clients ont quelquefois une propension à se faire haïr, et à contrarier les petits projets les plus simples….

Heureusement, le Gravier est là, toujours prévenant, et charmant. Ce soir, dîner au chaud, tranquille, couchage dans les meilleurs délais pour un réveillage dans les meilleurs délais aussi.



StephAmie blogge, mais est de mauvaise humeur (elle le cache pourtant sur cette image)

Les Souriteurs sont sortis faire quelques menues courses (dans la MouseMobile, à l’arrière de laquelle, en dépit de l’insistance du Gravier, la StéphAmie n’a toujours pas mis ses petits sacs de voyage, ce qui fait que, si on devait aller en vitesse dans le 16ème livrer une Souris, on n’aurait pas nos bagages! Quelle inconscience, ces mamans Souris) et dans les embouteillages, la Souriteuse s’amuse à se faire peur à coup de contractions irrégulières mais pénibles. Et en plus c’est elle qui conduit…

Demain, la Mère Souris, jamais à cours de challenge, plaide un petit dossier perso, et donc c’est depuis le cabinet des avocats (bel endroit dans un somptueux immeuble parisien sur la Boëtie) que le Souriteur poste ces lignes.

Car la Mère Souris en profite pour taper une petite discussion avec son alter-ego (l’autre collaboratrice, qui porte une crevette de 4 mois en son sein!) et les petites juniors du cabinet, histoire de montrer son ventre sur-tendu et discuter chiffons et barboteuses.

La mère souris a cessé de plancher sur ses dossiers vendredi dernier (28 février, donc, pour ceux qui voudraient un repère spatio-temporel), enfin presque parce qu’elle plaide une dernière fois le 5 mars (demain, donc….) pour l’un de ses dossiers personnels… conscience oblige

Bref, tout cela n’est pas bien important et la mère souris profite surtout du gravier en liberté (il a un poil res-plen-di-ssant), et des quelques jours précédant the arrival of the mouse.

La souriteuse qui pensait sincèrement que la souris pointerait son museau dès les premières heures du mois de mars (comme ça, juste une intuition féminine, totalement erronée, au demeurant) finit par se dire que bon, ce n’est pas si grave, et la semaine prochaine, ce sera pas mal du tout.

Après tout, il y a bien eu une cousine en janvier, un cousin en février, et la souris pour le mois de mars, le contrat est presque rempli (désolé Fred, on a tout essayé pour le 3 mars, l’italienne, le bain chaud et la pleine lune, mais rien n’y a fait….)

Voilà les dernières nouvelles, qui s’étaient faites rares, certes, mais de bienveillants lecteurs qui pensaient que l’arrivée de la souris était la cause de cette interruption momentanée, nous ont rappelé à l’ordre : don’t worry, when the mouse is there, you’ll know it (almost instantly thanks to gravier, his mobile, his laptop and his camera which are already in his bag).

D’ailleurs, on ne parle que du sac de la maman et du bébé to be, mais jamais de celui du papa, et pourtant, il est très important ce sac (attirail multimédia permettant de ne pas être coupé du monde plus de trois minutes 12 secondes, et stock de galak, crunch, coca et autres junk foodies (more of some pig out party, it seems, but…anyway)

Pas d’inquiétude, la Souris est toujours lovée dans le giron de sa Maman, et l’absence de niouzes sur ces pages reflètent surtout le fait que, depuis vendredi dernier, la Souriteuse et Avocat à la Cour s’est mise en vacances.

Du coup, elle passe beaucoup moins de temps sur un ordinateur (ou alors c’est pour regarder ses mails sans fil depuis son lit) et profite de cette oisiveté surprenante.

Rappellée à l’ordre par les lecteurs assidus de ces pages, elle va vous donner bientôt ses impressions et ses états d’âme….

En ce qui concerne la Soeurette du Souriteur, son genou va bien et elle est descendue de la montagne (à cheval, pom pom)…

Aujourd’hui monitoringue de la Souris.

En gros, une heure d’écoutage de battage de coeur de Souris.

Au début, touchant, attendrissant, puis un peu lancinant, et enfin ennuyant: après une bonne heure d’ecoute, on peut confirmer que: son coeur bat bien, il bat vite (140 à 160) et il bat toujours.

La Souris n’a pas trouvé ça très distrayant non plus, alors, pour s’occuper, elle donnait des coups de pied dans le micro collé sur le ventre de sa Mère.

Lundi radieux et calme, finalement une nuit de petites contractions régulières n’a pas valu à la Souriteuse de partir vers la maternité (au sens lieu physique mais aussi, concept nouveau et peu évident à appréhender maintenant) sans s’être préparée.

Le Souriteur aussi, ça l’arrange, car il n’a pas encore fait sa valisette à lui (avec du Galak, des batteries de téléphone, un appareil numérique, un laptop et un modem, etc…)

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Le Souriteur interrompt cette communication car une dépêche de l’AFP vient de telescripter sur son bureau: sa soeurette chérie et adorée a trouvé le moyen de se vraquer un genou fragile en skiant, il n’est pas content du tout et il vous donnera plus d’info plus tard, il doit aller aux nouvelles

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Week end de “folaïe” pour la souris (et ses parents, car jusqu’à preuve du contraire, ce sont encore eux qui décident, plus pour longtemps, certes…)

Samedi matin a été le théâtre d’épreuves éprouvantes pour chatigresse qui s’est fait piquer dans tous les sens pour le check up final (même l’oreille, si !!!)

Nonobstant, temps radieux sur la ville d’où la folle envie de Stéphamie de gambader dehors :

Après midi plein de vitrines, pauvre en achats (cela arrive…un peu comme les éclipses, tous les 6.000 ans).

Collation ensoleillée à regarder passer les gens pressés.

Thé cozy sous les toits parisiens.

Puis soirée animée, colorée, pour le “happy birthday” des jumeaux les plus sympas de Paris (ils se reconnaîtront) avec les jumelles les plus cools de Paris (tout pareil).

Aujourd’hui, c’est dimanche, et il fait gris, mais bon, pas grave. Razzia de books chez Smith, et de parures chez les filles à la vanille

A part cela, rien de neuf sur le terrain souritesque, la veille se poursuit, l’attente aussi.

Toujours pas de valise prête, la mère souris ne le sent pas complètement encore, et tout le monde sait qu’il ne faut pas brusquer ce genre de processus (cela étant, demain soir, c’est fait, on ne sait jamais, et on ne rigole pas avec ces choses là)

Message perso pour un maxi fan (qui synchronise son palm avec les aventures de la souris (comprendre la mère de chatigresse)) : monitoring mardi