Le fils de la quiche

Comprenez : Sasha, hier, est parti se balader dans le Vexin avec Granny et Dad et a pu apercevoir, tout près, sur la route départementale, une biche et son faon (oui, bambi, le même).

Sasha en rêve encore.

Pendant ce temps-là, chatigresse ressassait les fournitures nécessaires pour l’organisation de la première birthday party du museau (non pas qu’il ait un an cette année, mais c’est juste qu’avant, un goûter d’anniv, cela n’avait pas de sens. Gravier ajoute que cette année encore, c’est prématuré. Tais toi, et continue à designer les cartons d’invit rétorque le félin, irrité.)

Nonobstant, Violette agrippe tout ce qui lui passe à portée de menotte et gratouille, tripatouille, tâtouille…..explore l’item. Chatigresse s’en est aperçue ce matin, en changeant la puce. Elle entendait un genre de grat grat, sans s’en expliquer l’origine. Elle a bien pensé à quelque termite qui aurait survécu au grand incendie de mai dernier (celui dans lequel leur maison – un joli plateau rapporté de Bali- s’était soudainement embrasée exterminant la colonie, certes balinaise, mais nuisible par ailleurs). En fait, pas de termite, aucun n’a survécu d’après l’AFP et reuters. C’était juste Violette qui grattait doucement le petit panier en osier où sont entreposés ses produits de beauté (sérum physiologique, bépnathène pour les fesses, mouche bébé, thermomètre).

Pas peu fière de la précocité de son enfant (à vérifier quand même), chatigresse a ressorti un livre en tissu qui fait psss, pschitt, grat grat, pouet pouet, niak niak et pleins d’autres trucs. Le bébé adore.

Je vous embrasse mes petits loups.
à bientôt.

Signé la patronne

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